Adieu machonville !

Auteur(s) :

Epoque(s) :

Edition : Editions Rabelais

Dépot légal : 2ème trimestre 1974

Imprimeur : Sté d'Expl. de l'Imprimerie Lienhart et Cie, Aubenas

Partager :

Partager sur facebook
Partager sur email

254 pages de format 14 sur 18,5 cm avec une couverture à rabats
Ce livre, tiré à 500 exemplaires, est encore un livre de souvenirs de Marcel-E. Grancher essentiellement consacré à la période de l’enfance avant la guerre de 14-18 jusqu’à la fin de la 2ème guerre mondiale.
Ce livre, qualifié de tome 1, sera suivi d’un tome 2 intitulé La gueule … et le reste.
Ce livre, au titre assez mélancolique, s’explique par les adieux de l’écrivain qui ne veut plus encombrer la scène, mais aussi et surtout par Machonville qui nous quitte. Machonville, ce n’était pas seulement un coin hypothétique de la côte beaujolaise, c’était toute la France, un petit patelin heureux – Lons-le-Saulnier, Souillac, Sens, Romorantin, Pouzauges – voire simplement un quartier d’une grande ville, où chacun se connaissait, s’estimait, s’aimait… Machonville, c’était un peu comme une façon de vivre plutôt qu’une entité géographique, de construire son petit bonheur « bien de chez nous », en bref tout ce qui constituait une vie aimable et peu compliquée.
On trouvera dans ce livre des références à Frédéric Dard :
– tout d’abord, pages 196-197, le récit de la course éperdue qu’il fit pour prévenir Marcel Grancher que la Gestapo le cherchait, à cause de la parution du livre « Fascicule bleu ». C’est un peu une redite car Marcel-E. Grancher avait déjà raconté presque mot pour mot cet épisode dans son livre « Au temps des pruneaux » pages 199-201.

– ensuite, page 206, une dédicace manuscrite que Frédéric fit à Marcel-E. Grancher lors de la sortie de son roman « Votez Bérurier »

Adieu machon
– et enfin, page 254,  un extrait d’une lettre que Frédéric lui envoya à propos de Gabriel Chevallier.

Ce livre est aussi paru avec une autre couverture dans un tirage limité de 500 exemplaires (30 exemplaires sur pur fil numérotés de I à XXX et 470 exemplaires sur alfa numérotés de 1 à 470 réservés à l’auteur, à ses amis et à la presse.

Vous aimerez peut-être :

La gueule ... et le reste
De Courteline à Curnonsky...
Quartiers de Lyon