Les morues se dessalent

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Epoque(s) :

Edition : Fleuve Noir

Dépot légal : février 1988

Imprimeur : Imprimerie Bussière, Saint Amand

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Collection SA n°134Les morues se dessalent back
Illustrateur 1er plat : Photo HANICKI

Sous-titre : Roman Hypodermique

Dédicace : Ce livre n’est pas à la portée de
n’importe qui. Seul un esprit épicu-
rien véritable peut en saisir toutes les
nuances ; c’est pourquoi je suis dans
l’heureuse obligation de le dédier à
mon ami Pierre SCICLOUNOFF
sans qui la ville de Genève ne serait
pas ce qu’elle est.
SAN-A.

Si tu prends ton whisky « on the rocks », viens vite avec moi dans ce book. Car, pour ce qui est de la glace, tu seras servi ! Le Groenland, mon pote ! C’est-à-dire une calotte glaciaire de 2 000 km de long, sur 3 km de hauteur (la largeur, je me la rappelle plus, mais si tu la franchissais sur les fesses, tu aurais les miches en flammes !). Si ça te dit de faire une chouette balade en traîneau à clebs, d’assister au plus grand tournoi d’éjaculation de l’hémisphère Nord et de vivre une aventure scientifique capable de flanquer la courante à un ours blanc, ne rate pas cette oeuvre prodigieuse. Elle te permettra en outre de connaître Marika, la superbe femme de ma vie. Mais n’essaie surtout pas de faire le mondain avec elle, hein ? Sinon tu aurais de mes nouvelles. Et pas des bonnes !

Le vieux a gagné ! San-Antonio hors de lui, dans une colère noire contre le rouquemoute et le chauve a claqué sa dem’ ! Enfin la tranquillité, le repos auprès de sa douce Félicie dans leur pavillon. Sauf que l’histoire du Vicomte Hugues Capet de Flatulence (bouffeur de chattes de son métier) lui trotte dans la tête et que la mort violente de ce dernier le pousse à résoudre le mystère venant du froid.
Une valise avec vêtements chauds et voilà San-Antonio parti au Danemark sur les traces d’un inconnu à qui Hugues Capet de Flatulence a sauvé la vie afin de découvrir qui et pourquoi on veut à tout prix le supprimer..Une fois sur place San-Antonio est lui-même pris en chasse par les tueurs. Une course folle va commencer pour sauver la peau d’un inconnu et la sienne par la même occasion.
Une traversée du Danemark où la plus belle des femmes du monde va voler (littéralement) à son secours suivi d’une découverte du Groënland en hélicoptère et en traineau par un froid suprême. Mais le clou de l’aventure reste la participation au triathlon (un peu spécial) de Béru ! C’est là qu’il va gagner une tonne de morue et une seconde femme.
Un de saison… on a froid car il gèle a à peine -5°C, notre beau commissaire a besoin de caleçons molletonnés pour affronter un froid sibérien et chercher une aiguille dans une botte de foin ! Mais quelle mouche l’a piqué de partir sur les traces d’un inconnu pour lui sauver la vie ? Son amour de l’homme et des mystères… Il ne peut pas résister à une enquête, c’est plus fort que lui. On ne le changera pas…
Critique écrite par Arsenik le 27/12/2006

Curiosité : C’est la 2ème fois que Frédéric Dard dédit un San-Antonio à Pierre Sciclounoff. Il lui avait déjà dédié en septembre 1985 « Dégustez, gourmandes ! »

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