On liquide et on s’en va

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Epoque(s) :

Edition : Fleuve Noir

Dépot légal : 1er trimestre 1981

Imprimeur : Imprimerie Bussière, Saint Amand

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Collection S.A. n°105 (n°106 par chronologie)On liquide et on s'en va back
Illustrateur 1er plat : Photo POINT 50

Sous-titre : Roman de Première Classe et de Politique friction

Dédicace : A Gil
et à mon cher Lucien SAILLET,
si plein de vraie vie.
San-Antonio

« Ah ! si M. Prince n’avait pas fauché le truc magique du tueur pendant que M. Adolphe s’envoyait Mme Eva, rien de tout cela ne serait arrivé.
T’aurais pas eu droit aux coliques incoercibles de Pinuche, ni au coït flamboyant de Béru, non plus qu’à l’hécatombe ci-jointe.
Et à moi, ça m’aurait évité 250 pages de déconnage. Mais t’es pas forcé de les lire. »
San-Antonio

De Paris à la Côte d’Ivoire en passant par l’Angleterre
Un bon opus de San-Antonio avec le trio infernal (San-Antonio, Bérurier et Pinaud).
Une histoire complexe mais dans laquelle notre commissaire nous guide avec aisance accompagné de ses deux acolytes principaux habituels (qui nous proposent tous deux quelques bons moments de folie, notamment Béru). Cette enquête est jonchée de cadavres sur la piste d’un tueur dont les mobiles sont peu clairs (jusqu’à la fin).
Frédéric Dard aimait l’Afrique et ça se sent tout au long de ce roman.
Comme d’habitude avec San-Antonio, il y a des personnages secondaires intéressants (la vieille lady anglaise et sa chauffeur, le vieux peintre, …).
A lire sans retenue donc.
Critique par JEANLEBLEU, le 13 juillet 2012

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