Préméditation ? – Affiches françaises du film

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Auteur(s) :

Epoque(s) :

Edition : Bertho Films

Dépot légal : avril 1960

Imprimeur : S.I.P.

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Il existe deux affiches françaises de ce film :
– la première, sur fond bleu, de dimensions 80 sur 120 cm, a été imprimée par S.I.P. Cette affiche existe aussi sous forme de carte postale.
– la deuxième, sur fond blanc, de dimensions 120 sur 160 cm, a été dessinée par Gallard.

Date de sortie : 8 avril 1960
Réalisateur : André Berthomieu assisté de Eugène Lepicier, d’après le roman « Toi qui vivais » de Frédéric Dard
Acteurs : Jean-Claude Pascal, Jean Desailly, Pascale Roberts, Jacques Dufilho, Jacqueline Porel, Denise Vernac, Charles Bouillaud, Robert Le Béal, Duong Van De, Caroline Saint, Henri Coutet, Georges Hubert, Marcel Loche, Jacques Ary
Scénario et dialogues : André Berthomieu et Frédéric Dard
Production : Bertho Films, Filmel

Une jeune avocate complexée, Sylvie Foucot, tombe par surcroît amoureuse de son jeune et beau client, Bernard, accusé d’avoir assassiné sa femme qu’il venait de surprendre entre les bras de son meilleur ami : crime passionnel, et la jeune avocate pense bien sauver son bonheur, en même temps que la tête de son client, à vrai dire pas très menacée. Le juge d’instruction, de par son métier et le sexe auquel i1 appartient, envisage l’affaire de façon plus objective, et il découvre peu à peu la duplicité du sympathique jeune homme, lequel a bien assassiné sa femme, mais après avoir longuement organisé l’affaire dans tous ses détails. Un seul a cloché, bien sûr, et c’est ainsi que la préméditation est découverte. Sylvie cependant est prête à tout pour sauver son amour, y compris à racheter de ses deniers des lettres – fausses, elle le saura après – que la femme assassinée aurait écrites à son amant et dans lesquelles le mari est moqué. Au sursaut de Bernard, à son soulagement lorsqu’il apprend que les lettres étaient fabriquées, Sylvie voit bien que la femme morte est la seule qu’il ait jamais été aimée. Elle plaide avec toute la force du désespoir, mais le coupable, pour la première fois s’accuse, détruisant ainsi tout l’effet de la plaidoirie, et le jury, vertueux et indigné, rend à l’unanimité son verdict – qui est la peine de mort.

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