C’est un numéro dans lequel Frédéric Dard, sous son nom et sous celui de pseudonymes reconnus, apparait 4 fois. On y trouve aussi un texte signé Alex de la Glunière que certains considèrent comme un pseudonyme de Frédéric Dard. Il n’en est rien. Frédéric Dard, à qui on avait soumis en 1999 10 textes signés de ce nom dont « L’étrange volupté » n’en a reconnu aucun.
PAGES HUMORISTIQUES
Vacances : petites réflexions bien pensées de Frédéric Dard
A l’eau ! à l’eau !, par Redvil
Cà, c’est Paris… en été
Les grosses, par E. Cocard
CONTES HISTOIRES NOUVELLES
La famille Amour se déshabille … :Yodi Lowe
Pas d’histoires.. , de l’histoire ! – Fin de siècle , par G.M.
Une riche idée.., par Josianne Juillet
La lune rousse : Jean Marsac, le plus vache de nos chansonniers, par F. Dard
Le monocle, par Frédéric Charles (pseudonyme reconnu de Frédéric Dard). C’est la 3ème version de ce texte publié initialement dans Jean-Pierre n°78 du 10 août 1939 avec comme titre Le monocle révélateur et signé Fred Dysert, puis dans L’AN 40 n°7 du 15 juillet 1940 sous la signature de Frédéric Dard. Le texte est un peu élagué par rapport aux deux versions précédentes et surtout l’inspecteur Flachère a été remplacé par l’inspecteur Baume, nom d’une infirmière qui avait soigné Frédéric Dard lorsqu’il était enfant (voir L’AN 40 n°10).
Le vieillard et les trois jaloux, par G.G.
L’étrange volupté, par Alex de la Glunière (pseudonyme non reconnu de Frédéric Dard)
Ni cœur, ni tête, par Le Chevalier de L…
A cœur ouvert, par Clamaveaurais
Quand minuit sonne…, par Max-André Dazergues
Copie conforme : L’inconnu de minuit
Sur le vif : Mado mannequin, par Alceste
Le vétéran, texte non signé, mais attribué sans aucun doute à Frédéric Dard car il avait été publié initialement dans Heures Claires n°111 en 1944. Le texte de 1944 comporte une dizaine de phrases supplémentaires par rapport au texte dans cette revue.
Au hasard de la page : Poulbot inconnu, par J.P.
Les enquêtes de Oh ! : O muse spectre insatiable…, par Andrée Clément
Prix : 40 F
