Du plomb pour ces demoiselles

Genre(s) :

Epoque(s) :

Edition : Fleuve Noir

Dépot légal : 2ème trimestre 1951

Imprimeur : Les Impressions rapides, Paris XI

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Du plomb pour ces demoiselles backSpécial Police n°15
Sous-titre: Récit de Russel Moor
Dessinateur 1er plat: Gourdon

Dédicace : A mes amis Clément JACQUIER,
responsables de beaucoup de mes
« crimes »
Affectueusement,
F.D.

Je regardai Gloria, ma petite Gloria. étendue dans sa mort avec ses cheveux d’or et de sang. Son sang encore sur le panneau inférieur du lit, car son tortionnaire s’était servi du montant de bois comme d’un billot pour lui sectionner les doigts. Le gars qui avait fait le coup avait mis toutes les chances de son côté et toutes les charges du mien.
Comment avaient-ils pu savoir que Gloria avait collé les micro-points sur ses ongles avant de laquer ceux-ci avec un enduit foncé ?
Ces types nous avaient suivis d’Indianapolis à Chicago…

 

Un bon Dard…
Ça pique ! Et celui-ci y réussit bien. Si on est happé dans cette histoire (de nazis dans les Etats-Unis des années cinquante) par le style précis et percutant du bon maître Frédéric, on se dit néanmoins, petit à petit, au fil des pages, que c’est quand même trop beau toutes ces coïncidences qui poussent le héros en avant dans sa quête tout en lui évitant des ennuis de plus en plus gros… Jusqu’au coup de théâtre final qui vient tout justifier !
J’enlève quand même une étoile car il me semble que ce coup de théâtre possède lui-même une faiblesse (la verrez-vous vous aussi ?).
Critique écrite par JEANLEBLEU, le 25 février 2014

Ce roman a donné lieu à une pièce de théâtre éponyme créée en 1953.

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