Les salauds vont en enfer – roman

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Epoque(s) :

Edition : Fleuve Noir

Dépot légal : 1er trimestre 1956

Imprimeur : Imprimerie Foucault

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C’est le  Spécial Police n° 87 vendu au prix de 225 FRS.

Il y a eu deux éditions quasi simultanées de ce livre avec le même 1er plat :

– l’édition originale comportant au verso du 1er plat une photo de Frédéric Dard assortie d’un texte et une publicité au dernier plat pour Irwing Le Roy. Cette édition a été vendue à 225 Francs BC.

– la 2ème édition présente au dernier plat une photo de Frédéric Dard et le même texte que celui du verso du 1er plat de l’édition originale.

Il existe une variante de cette 2ème édition qui ne comporte pas de mention de prix , ni de numéro en bas de la dernière de couverture.

Certains exemplaires ont été commercialisés à l’époque avec un bandeau.

Ce roman est l’un des trois choisis par le Cercle Européen du Livre pour faire partie des Chefs-d’Oeuvre de la Littérature d’Action.

Résumé : Un flic reçoit pour mission de gagner la confiance d’un espion incarcéré dans un pénitencier, afin d’obtenir des confidences sur son réseau. Le meilleur moyen est alors de partager sa cellule en se faisant passer pour un criminel.Leur relation oscille bientôt entre une haine farouche et une amitié fraternelle. Mais qui de Frank ou de Hal va l’emporter à ce jeu de dupes en huis clos ?
Lorsqu’ils décident de s’évader, leur destin est scellé. Le pire surgit en la personne de Dora, une jeune femme qui les aide dans leur cavale. Quand tous les trois se réfugient sur une île, jamais l’expression « l’enfer, c’est les autres » n’aura semblé plus appropriée…
Une critique de ce roman écrite par Igor B. Maslowski a paru dans Mystère Magazine n°98 de mars 1956.

Curiosité :  A l’origine, Frédéric Dard écrivit une pièce de théâtre intitulée « Les salauds vont en enfer ». Cette pièce fut jouée près de cinq cents fois à Paris et à l’étranger. Un film en a été tiré et c’est ensuite que Frédéric Dard décida d’écrire ce roman. Il réussira d’ailleurs la prouesse de sortir le roman avant la sortie du film.
C’est un parcours étrange car souvent, ce sont les films et pièces de théâtre qui sont tirées d’un roman.

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