Plein les moustaches

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Edition : Fleuve Noir

Dépot légal : décembre 1985

Imprimeur : Imprimerie Bussière, Saint Amand

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Collection SA n°123Plein les moustaches back
Illustrateur 1er plat : Photo VLOO – G. Rosenberg

La chasse aux criminels de guerre nazis n’est plus ce qu’elle a été car le gibier est en voie d’extinction, décimé qu’il est par cette épidémie qui s’appelle le temps. Mais enfin, il en reste encore quelques-uns à travers le monde, ce livre t’en administre la preuve. Quelle équipée ! Quel écoeurement aussi ! Là, tu peux croire que j’en ai pris plein les moustaches. Pourtant, le président s’est montré très coopératif. Hélàs, ça ne fait pas tout. Cézigue, il bénit l’émeute, mais il ne court pas après le renard.

Nazi dans le rétro …

Voici notre bon commissaire qui officie officiellement dans une officine américaine qui se donne pour objectif la capture d’un nazi.
La Big Beetween, l’agence en question a recruté Sana pour ses qualités extraordinaires.
Sana se trouve au Pérou , où s’est réfugié l’infâme Streiger.
Seulement voilà tandis que Sana et l’équipe planque, les gars du sin beth sont déjà sur le coup. La vengeance est un plat qui sait attendre, tu penses, voilà plus de quarante ans qu’il sont à la recherche du dignitaire nazi, transformé en péruvienne.
La capture du gus se fait sans encombre pour Sana, qui coupe l’herbe sous le pied des agents israéliens.
S’ensuit une visite d’un village bavarois où se trouvent être les plans d’une arme prodigieuse mise au point par Streiger.
Sana ne trouvera pas les plans, mais en lieu et place la tête de Streiger qui s’est refait capturer et décapiter.
Sana trouve l’arme en question qui a la faculté de faire perdre tous les sens à la personne visée par icelle.
Sana reviendra chez nous , à la maison poulaga, avec l’arme qui pourrait être forte utile à notre gouvernement.
Suis une réception élyséenne où pour finir Béru entonne une Marseillaise pétaradante.
Un bon Sana, de l’exotisme, toujours des demoiselles en pâmoison devant les prouesses de notre représentant national, on a les ambassadeurs que l’on mérite.
Critique par Hexagone, le 10 septembre 2008

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